Arrivée au bar... : "Qu'est-ce-que j'vous sert ?"

Fin de journée difficile ? On l'a tous vécu :

Bonhomme 1 : "Dure journée ?"
Bonhomme 2 : "M'en parle pas, j'suis claqué !"
Bonhomme 1 : "Viens, on va au bar ! J't'offre un verre !"
Bonhomme 2 : "Bof, si c'est toi qui offre, pourquoi pas ?"

[trajet avec musique...(comme dans les films...)]

[Arrivée au bar...(les 2gars entrent en même temps en regardant chacun d'un côté... comme dans les films... encore)]

[Regard du barman...]

Barman : "Qu'est-ce-que j'vous sert ?" (il est, bien sur, en train de sécher un verre... cdlf = comme dans les films)

Bonhomme 1 : "2 Mojitos svp !"
Barman : Va pour 2 Mojitos !"

Recette :

- 6 cl de rhum cubain (havana club, bacardi, etc)
- 1/2 citrons verts
- 1 cuillère à café de sucre
- 4 feuilles de menthe
- eau gazeuse

Préparez la recette du cocktail Mojito directement dans le verre : Ecrasez les feuilles de menthe légèrement hâchées avec le sucre dans le verre à l'aide d'un pilon en y ajoutant le jus d'un demi citron. Remplir le verre à moitié de glace pilée et ajoutez le rhum. Mélangez et complétez avec de l'eau gazeuse... Voila, le Mojito est prêt.

Le Mojito a fait sa place parmi les grands classiques et c'est aujourd'hui le Cocktail le plus célèbre. Très élégant et cosmopolite, lors de sa préparation il s'agit premièrement de travailler les feuilles de Menthe, le Sucre et le jus de citron avec un pilon dans un verre haut. Le Mojito devient ainsi très parfumé, légèrement sucré avec une pointe d'acidité. Les puristes insistent sur le choix de la menthe : la "hierba buena", (l'herbe du bonheur) est une variété de menthe cubaine qui permet de réaliser un Mojito exceptionnel. Le jus de citron doit être le jus d'un demi citron vert frais, ce qui donne au Mojito ce goût un peu acide qui représente le "sine qua non" de cette boisson.

Certaines variantes sont réalisées sans eau gazeuse et en mettant des morceaux de citron verts au fond du verre, rajoutant la menthe et du sucre de canne et pilant le tout. Une autre variante du Mojito consiste à ajouter quelques gouttes d'Angostura. Mais la recette originale restera à jamais la plus noble.

L'origine du Mojito vient de Francis Drake, connu à l'époque sous le nom "El Draque" (le Dragon), était un celèbre pirate anglais (premier homme anglais à faire le tour du monde) et avait un repère situé à "La Isla", qui est la "Isla de la Juventud" à Cuba. Cet écumeur des mers avait incontestablement bon goût, il était séduit par ses paysages naturels restés vierges et sa quiétude. C'est cette même île de la mer des Caraïbes qui inspira Robert Louis Stevenson pour écrire "L'île au trésor".

Francis Drake, pendant son tour du monde et entre 2 pillages en 1578, y a accosté et buvait dans une taverne avec son équipage pour fêter leur dernier butin. Ils aimaient y siroter des feuilles de menthe pilées avec de l'eau-de-vie locale (précurseur non raffiné du rhum cubain actuel) et du citron vert. Ils y buvèrent l'ançêtre rustique sans sucre du mojito qu'ils appelèrent le "Draque" (pseudo du celèbre corsaire qui était aussi amiral et capitaine de l'équipage). La recette y est restée et s'est perpétuée jusqu'à se consommer régulièrement sous le nom de "Draquecito".

Le règne de la mafia cubaine entre 1910 et 1920 à permis de rafiner le rhum. En 1946 "La Bodeguita del Medio" décide donc de réaliser une variante rafinée, améliorée et sucrée du "Draquecito" afin de le rendre plus accessible. Ils appelèrent cette recette "Mojito" (amalgam violent de mojadito (humide) et de mojo (sauce culinaire cubaine voulant aussi dire "charme" en afrique du sud). Nom bien trouvé pour une boisson qui se veut séduisante et tropicale. Peu de temps après, les Cubains le préparèrent partout et au milieu des années 20 elle était devenu la boisson nationale de Cuba. Prononcez à l'Espagnole :"Morito".

Ernest Hemingway aimait siroter des Mojitos à "La Bodeguita del Medio", mais sans sucre parce qu'il ne digérait pas le sucre non rafiné, ce qui a donné naissance au Papa Hemingway et au Hemingway Special car ils le lui préparaient avec du Gustos Maracino (une liqueur cubaine à base de cerises) et/ou un zeste de pamplemousse.

Bonhomme 1 : "2 Caipirinha svp !"
Barman : Va pour 2 Caipirinha !"

Recette :

6 cl de cachaça
- 1 citrons verts
- 1 cuillère à soupe de sucre

Préparez la recette du cocktail Caipirinha directement dans le verre : Lavez le citron vert et coupez les deux extrémités. Coupez le citron en 8 ou 9 morceaux et retirez la partie blanche centrale responsable de l'amertume. Placez les morceaux dans le verre et versez une bonne cuillère à soupe de sucre. Ecrasez fermement le tout dans le verre avec le sucre en poudre jusqu'à l'extraction la plus complète possible du jus. Recouvrir le mélange citron-sucre d'une bonne couche de glace pilée, concassée ou glaçons simples (ras bord), puis faire le niveau à la cachaça jusqu'à un doigt du bord.

Ne pas rajouter de sucre après l'adjonction de la glace (le nouveau sucre ne se dissout plus). Mélanger legèrement avec un mélangeur et servir avec le mélangeur et une petite paille.

Vous aimez le Brésil, la Samba, une compagnie agréable... vous aimerez le Caipirinha !!! Le Caipirinha est le Cocktail brésilien traditionnel, populaire et preféré partout dans le pays, particulièrement au bord des plages. Accompagnée avec quelques apéritifs, il crée une atmosphère sensuelle et détendue. C'est également le compagnon inséparable de la "feijoada", un plat typique brésilien servi chaque mercredi et samedi dans la plupart des restaurants brésiliens.

Au brésil, on y boit les meilleures caipirinhas pour deux raisons : la technique brésilienne consiste à couper le citron en 9 tel les traits du jeu du morpion après en avoir coupé les deux extrémités, c'est rapide et la partie blanche centrale responsable de l'amertume est dissociée à la volée : il suffit de la jeter. De plus, on y trouve les meilleures cachaças telles que "velho barreiro", "magnifica", "rochinha", "gotas de minas", qu'on trouve facilement en gold (vieillies) pour une arôme encore meilleur. Aussi, il est important d'utiliser du sucre en poudre car grâce au pilon il devient un bon "abrasif" pour l'écorce du citron, et permet d'en optimiser le prélèvement de l'arôme.

Acidulé et sucré, c'est délicieux, et comme toute chose de haute gamme : on ne sent pas sa puissance, c'est une dangereuse gourmandise qui fait tourner très vite la tête. La caipirinha c'est comme les seins: un seul, ce n'est pas assez. Trois, c'est de trop.

L'origine de la caiprinha remonte aux années 1800. Au brésil, les esclaves aimaient y boire du garapa, qui était du jus de canne à sucre qu'ils faisaient simplement bouillir, sans le fermenter. Ils l'obtenaient après avoir pressé la canne à sucre au moyen des presses rotatives. L'ébullition permettait la stérilisation évitant ainsi le développement des bactéries qui se trouvent normalement dans le jus de canne. Pendant les fêtes et rituels, ils mélangeaient leur garapa avec l'eau-de-vie de sucre de canne locale (la "cachaça") qu'ils donnaient en partie aux esprits des morts. Ils y mélangeaient aussi des jus de fruits ou des épices : sont nées ainsi les fameuses "batidas", et la plus fameuse était la "batida de limao", qui était réalisée avec le jus des citrons verts. C'était le prototype de la Caipirinha.

Avec le temps, la "batida de limao" à évolué avec des morceaux de citron verts dont l'écorce donne le goût original à la Caipirinha. La technologie aidant pour fabriquer la glace, et ainsi pour la rendre plus fraîche, elle est devenue plus facile à boire et plus fréquente.

Le nom "Caipirinha" lui a été donné à ce moment là et viendrait d'un mélange de "Caipira" et de "Curupirinha". Ces deux termes sont liés : "Caipira" était un terme pour designer les "paysans". Terme, issu du mot "Caipora" qui désignait les anciens habitants de la forêt... lui même issu du mot "Curupira", qui désignait un démon mythique de la forêt dont le diminutif est "Curupirinha" (nom donné à l'instar des "éléphants roses" pour décrire une vision troublée par un ivresse évidente).

Dans les années 1910, le brésil est un pays pauvre et cherche un avenir propre pour se démarquer et se débarasser des liens avec l'europe. Pour se faire, le modernisme brésilien se développa grâce à la littérature, l'art et le commerce : la cachaça a participé à ce développement comme étant un produit culturel, de fabrication locale et qu'ils pouvaient exporter pour du commerce. Pendant une épidémie de grippe au Brésil en l’an 1918, un tenancier portugais travaillant dans un bar de Sao Paulo servait des Caipirinhas aux clients atteints du virus. L'épidémie commençant à s'estomper, ce cocktail était devenu un remède à succès en plus d'être délicieux. Les vertus de ce cocktail étant prouvées, c'est vite devenu la boisson préférée des brésiliens.

"Oswald de Andrade", (grand écrivain brésilien) se marie avec "Tarsila do Amaral" (une des plus grandes peintres modernistes), et dans les années 1920 elle organisait des "fameuses feijoadas" à Paris servies avec de la "Caipirinha". La cachaça était devenue un produit de luxe en france, tout en faisant connaître le Caipirinha. De plus, le succès du tenacier portugais de Sao Paulo s'est vite fait connaître en europe. Aujourd'hui, la Caipirinha est appréciée dans le monde entier.

Au brésil, une variante existe :
-Caipirinha da Enseada (saupoudrer de canelle)

Bonhomme 1 : "2 Malibu Beach svp !"
Barman : "Va pour 2 Malibu Beach !"

Recette :

- 5 cl de liqueur de coco et rhum (malibu)
- 5 cl de liqueur de fruits de la passion (passoa)
- 10 cl de jus de fruits de la passion (jus de maracuja)
- 1 trait de sirop de fraises

Préparez la recette du cocktail Malibu Beach au shaker : Verser le Malibu, le Passoa et le Jus de Fruit de la passion dans le Shaker. Frappez et versez un trait de sirop de fraise dans le verre et versez le contenu du Shaker dans le verre. Homogénéiser le melange. Déguster.

Préparé au cours d'une soirée arrosé et sans les bonnes doses, le Malibu Beach vit vraiment le jour le lendemain soir de cette soirée en recherchant les doses exactes. Choses faites desormais.

Bonhomme 1 : "2 Pina Colada svp !"
Barman : "Va pour 2 Pina Colada !"

Recette :

- 4 cl de rhum blanc
- 2 cl de rhum brun
- 12 cl de jus d'ananas
- 4 cl de lait de coco

Préparez la recette du cocktail Pina Colada au mixer : Mixer les ingrédients avec 6 glaçons pour obtenir un mélange onctueux dû à la glace qui sera pilée (frozen). Vous pouvez aussi ajouter un peu de crème fraîche. Dans beaucoup de lieux, le rhum brun est absent ainsi que la crème fraîche et le lait de coco est de marque "coco lopez", ce qui dérive très bien de la recette originale...

Si le concours du cocktail le plus modifié existait, la Piña Colada serait sûrement en tête. Il existe tellement de variantes, tellement de modifications jusqu'au nom même de la recette que la recette originale s'est faite voiler... parfois perdue dans le temps et à travers les pays !

Mais une certaine origine est restée car le point commun de quasi toutes ces variétés est le rhum et le jus d'ananas, parfois le lait de coco est oublié ! Le mélange du rhum, de l'ananas et du coco est tellement parfait que tous les barmans on voulu ajouter leur grain de sel pour le peaufiner... Certains ont voulu franciser la recette en y ajoutant un peu de cognac, d'autres y mettent du sel ou du sucre (parfois les deux)... jusqu'à y mettre de l'angostura. Nous pouvons certifier que la recette ici présente est l'originale: veillez à la respecter, et si l'envie vous prend d'ajouter votre touche personnelle, rien ne vous en empêche mais... ce ne sera plus une Piña Colada !

C'est aux antilles que vous trouverez les meilleurs Piñas Coladas classiques, servis dans des ananas démunis de leur chair, à déguster à l'ombre d'un palmier... divin !

Souvent copiée, jamais égalée. La Piña Colada aurait été inventée le 15 août 1954 par "Don Ramon 'Monchito' Marrero", un barman de l'hotel Hilton à San Juan (Puerto Rico). Son but était de restituer toutes les saveurs de Puerto Rico dans un seul verre en insistant particulièrement dans le jus d'ananas frais des fermes de Puerto Rico.
Après plus de 3 mois d'essais, de dosages, et de nombreux mélanges malheureux, il s'est arrêté sur la recette de la Piña Colada (qui signifie "ananas pressé"), qu'il a servi à de nombreux résidents de l'hôtel, comme John Wayne, Gloria Swanson... Il servit ce Cocktail pendant trente-cinq ans comme barman au Caribe Sol et connut la consécration en 1978.

Coco Lopez, fabricant de crème de noix de coco originaire de Porto Rico, a marqué la vente du 3 millionième Piña Colada à l'hôtel en 1978 en offrant un téléviseur de couleur à Marrero. Le même jour, il a été honoré et le gouvernement a déclaré la Piña Colada boisson nationale de Porto Rico. Depuis, elle a fait le tour du monde.

ben va pour deux verres d'eau ^^

jvoudrais une pression stp avec quelque cacaouette

tetedoeuf a écrit:

jvoudrais une pression stp avec quelque cacaouette

Une pression a 14 ans, lol
delinquant

je sui un alors je boit allé un coca je ne boir po

Oues prend un coca cela sera mieux.

Sert-moi ce que tu veux, je bois plus ou moins de tout^^

Enfin, salut les gars. Je passe sur le forum vous dire un petit bonjour et prendre des nouvelles de l'alliance

J'ai pratiquement totalement décroché de B&F depuis quelques mois (fin de rhéto/terminale bien animée, exams, puis enfin vacances bien animées aussi, donc j'ai plus fort pris le temps pour les jeux sur internet). Je commence l'unif dans moins d'un mois, donc je risques pas d'avoir beaucoup plus de temps pour internet, avec les cours, le sport et les guindailles qui s'annoncent.

Enfin, donc comment évolue l'alliance ? Comment vont les guerres et l'ambiance entre les membres ? En espérant que ça se passe bien.

Et bonne continuation


PS : j'essayerai de passer encore de temps en temps vous dire un petit bonjour .

Ah ca fait plaisir chou chou
L'alliance se débrouille bien, d'ailleur ca fait un baille qu'on a pas perdu !
Mais on est encore trop peu de membres

Si seulement tu pouvais revenir

Si seulement j'avais plus de temps, ça serait avec grand plaisir que je vous rejoindrais .

Mais actuellement, je ne peux même pas être sur de me connecter quotidiennement sur B&F, donc pour participer activement à des guerres, c'est pas vraiment l'idéal...

Enfin, si j'ai plus de temps à nouveau, je n'hésiterai pas à vous contacter

content de te revoir , comme tu dis si jamais t'a du temps hésite pas

C'est vrai, je te connais pas trop desesperate mais cela serait un honneur de me battre a t'es cote.
deschoux si ta un peu de temp dans les mois a venir contact nous vite.
Y aurais que des anciens pour venir nous rendre main forte.

WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH, ca fait beaucoup trop longtemps que je ne suis plus passée par ici !!!

Alors, 2 sec, je me commande une cuvée des trolls, oui, donc, je disais :

Alors comme ca Deschoux, tu entres à l'unif !!! C'est cool ca et tu vas où ??? (héhé)

Bon, moi j'ai foiré mon année et je refais ma première... toujours en droit...

(on voit ce que c'est de ne faire que guindailler... enfin non, il n'y a pas que ca... déménagement, légère déprime pour différentes causes... mais prête pour un nouveau départ !!!)

Et malheureusement minedor, il est vrai qu'à l'unif on a moins de temps et que ca fait un peu longtemps que je ne suis plus allée sur mon compte b&f... cela dit, après mes derniers exams (pour choper des dispenses), je reviendrais bien faire un petit tour dans l'alliance si vous acceptez encore les anciens petits grades 3 ou 4... lol

Ca ne sera pas avant le 6 Septembre ou le 7...

Rhooo, j'ai plein de trucs à raconter mais si je commence... (hum, je sais, je parle toujours autant...)

Et j'ai aussi des petites musiques que je vais aller mettre maintenant... avant de me remettre à bosser Baruch Spinoza et Maurice Merleau-Ponty... et les autres...

Et oui, je rentre à l'unif. Et à LLN !

Je commence la chimie. En espérant que ça se passe bien, car pour beaucoup le passage des humanités à l'unif est bien difficile (c'est pas pour rien qu'il y a plus de 50 % - peut-être 60 ou 70 dans certaines facultés - des étudiants qui ratent le première...)

Enfin, donc on se croisera peut-être, oui

Et donc courage pour ton étude actuellement, en espérant que tu réussisses à avoir un max de dispenses pour être un peu plus cool l'année qui vient (tu as déjà certaines dispenses dans des gros cours, grâce aux sessions de janvier ou juin, ou presqu'aucune ?).

Ahum... j'ai deja 2 dispenses donc c'est vraiment le vrai foirage mais disons qu'il est vrai que tout ce changement fût un peu difficile à gérer (passage à l'unif, kot, organisation du travail, nouvelles libertés, etc,...)

Mais bon, on verra l'année prochaine, ca ira mieux...

Ah, mais alors tu rentres aussi le 17... tiens, il faudrait qu'on se voie un jour, ca pourrait être sympa... (comme ca on pourra créer le comité des anciens membre du Fight Club Belge... le euh... CAMFCB... enfin il faut trouver un autre nom mais bon...) Ou à une soirée... ta première guindaille en cercle... je veux voir ta tête (savoir si tu tiens les chopes... lol)

Tiens, au fond, tu fais ton baptême ?

En effet, je rentre le 17 aussi. Et oui, on pourrait se voir un jour

Enfin, pour le comité, on va pas être beaucoup de membres^^

Oui, pourquoi pas une fois lors d'une sortie en cercle. Et puis comme ça je pourrai voir ta tête aussi (concernant les chopes, je bois de temps en temps, donc je tiens un peu, mais je dois sans doute être loin de ton niveau si tu t'es entrainée toute l'année en cercle^^ )

Et concernant mon baptême, j'ai pas vraiment prévu de le faire cette année, mais je peux peut-être encore changer d'avis, qui sait...
D'ailleurs, tu as passé ton baptême, toi

Nan, y a moyen de s'amuser sans le passer mais si je peux, je vais passer la calotte... enfin normalement c'est en 2eme mais comme je devrais y etre je vais essayer...

Oui, j'ai pas mal d'entrainement... lol
Ah c'esr cool, on ferra ca alors... genre RDV à minuit au CESEC ou ailleurs (je ne sais pas quel est ton cercle... la MDS il me semble... moi c'est l'ADELE... enfin faut voir)

Et oui, c'est sympa effectivement... alors, petit dico :

- Bâpteme : initiation à la vie estudiantine, il ne s'agit pas d'un bizutage comme en France... personne n'est obligé de le passer et l'on peut tout à fait réussir ses études sans l'avoir fait...

- LLN : Louvain-la-Neuve mais je pense que tout le monde avait compris vu le nombre de posts où cela est expliqué...

- Cercle : Le cercle est l'endroit incontournable lorsque l'on fait ses études à l'Unif... il s'agit d'une sorte de boîte (mais pas seulement) rattachée à une fac ou à une région... L'on peut y boire des bierres (et aussi des cocktails lors des soirées prévues à cet effet), faire la guindaille (mais seulement jusqu'à 3h du mat... enfin, parfois plus mais l'heure officielle est 3h... tout ca à cause des riverains qui ne veulent pas plus tard... mais on peut tjs aller ailleurs après... genre au lac...), passer son bâpteme, avoir ses syllabus à moindre prix (enfin ca ca n'est possible que dans quelques cercles... dont le mien... héhé...), enfin plein de choses... c'est un peu ta seconde maison (haha)...

- Chopes : je dois vraiment décrire ca ???

- Calotte : Alors ca, c'est un peu plus complexe... on ne peut passer sa calotte qu'en 2ème... La calotte est tout un symbole (dans d'autres unifs, il y a la penne... mais la calotte est mieux...). Il ne faut pas avoir passé son bâpteme pour avoir la calotte (contrairement à la penne)... mais il faut savoir descendre et faire des afonds (cul sec)... Lorsque l'on a la calotte (forme de couvre chef), l'on représente sa fac ou sa région, l'on montre en quelle année nous sommes... quelles sont nos qualités (grâce aux pins que tu peux y accrocher)... Mais il s'agit surtout de représenter sa fac et de s'initier à son fonctionnement de façon plus active... enfin, je vous dirai plus de choses là-dessus quand je l'aurai passée...

- CESEC : CErcle des Sciences EConomiques... c'est le cercle des étudiants... en sciences économiques... voilà...

- MDS : Maison Des Sciences... c'est le cercle des scientifiques...

- ADELE : de son vrai nom AEDL... Association des Etudiants en Droit de Louvain-la-Neuve... MON CERCLEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE...

pour tout renseignement complémentaire... posez vos questions...

On se croirait dans des films américains
T'es pas pres d'me voir picoler juste pour avoir un béret et 2 pin's

Mais nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn...

C'est pas du tout ca... quand tu est calotté, tu peux faire beaucoup plus de trucs au sein de ton comité et tu peux vraiment participer à la vie, je dirais, politique de l'unif...

Mais tu va y rester combien de temps dans ton université ?

Franchement j'suis pas pres d'me bouger l'cul pour mon bahu moi

Ouais bon, mais là c'est différent... enfin je ferai un post spécial après mes exams...

je compte y rester au minimum 5 ans... plus les spécialisations... donc on va dire 7 ans...